Heaven Stevens

Messages : 2 Date d'inscription : 03/05/2008

Personnage

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Nom :Stevens

Prénom :Heaven

Âge :18 ans

Date & Lieu de naissance : 24 décembre 1988 à Londres

Profession : Mannequin

Groupe : Sorcière ?

Pouvoir : Empathie ?

Physique : Un minimum de 3 lignes est demandé.

Je suis de taille moyenne, tout de même un petit peu petite mais bon 1,68 c’est largement suffisant. Il me suffit de porter des talons et voilà je fais une très bonne taille. On dit que tout ce qui est petit est mignon et en effet on m’a souvent fait la remarque que j’étais mignonne. Cela doit être une question de goût car je ne me dis pas mignonne. D’un côté je n’ai rien à envier aux autres filles. Je ne suis pas du genre à me maquiller comme un pot de peinture. Non, loin de là, je préfère être naturelle. Je pense réellement que je suis belle le matin quand je me lève plutôt que le soir quand je suis totalement crevée. J’ai de beau yeux bleu azurs. En fait, je ne peux pas tellement vous dire si j’aime mes yeux ou non. Bizarre dites-vous. Non ce n’est pas bizarre. Enfin si nous avons le même sens du mot bizarre. Je n’ai juste aucune opinion sur mes yeux. Une longue chevelure blonde que je teins assez souvent. Oui je sais la teinture sa casse les cheveux. Mais tant pis. Je suis jeune je profite. Ah oui car je ne vous ai pas encore dit, j’ai 19 ans donc pas de ride et tout le blabla.
Niveau vestimentaire ? Je ne suis pas compliquée merci. Je me contente du nescience. Très souvent je dois avouer je mets un jupe en jean, des bottes ou des gettes sur des baskets et un simple tee-shirt. Voilà je ne me complique pas la tête le matin à faire mes ensembles & me dire, ça avec ça. Non pas de rouge avec de bleu. Non franchement je ne suis pas de genre de fille. Cela ne veut pas dire que je me vêtis mal non loin de là. J’ai un style, un style propre à moi-même. Je ne suis pas non plus ce genre de fille toutes pareille avec leurs noirs sous les yeux, le pantalon cigarette, et leurs couleurs noires et roses qui disent : Chui une émo, une rebelle, Fuck le monde. Non je suis-moi-même et ce style me reflète.

Caractère : Un minimum de 5 lignes est demandé.

Sociable – drôle – Comphrensive. Voilà les qualités principales qui me collent à la peau. Je ne sais pas si c’est vraiment des qualités mais on va dire que oui. Je suis quelqu’un de très simple qui vit au jour le jour sans se préoccuper de demain. Je vis. Et point barre. Suite à cela j’ai souvent tendance à remettre à demain ce que je devrais faire aujourd’hui. Dans les défauts hum égoïste principalement. Et surtout j’ai la fameuse tendance à mettre les pieds dans le plat. Mais bon je pense qu’il vaut mieux vous dires ce que j’aime pour que vous voyiez qui je suis.
Dans le monde il existe des milliers et des milliards de gens, d’objet, de sentiment. Parfois il faut juste regarder autour de sois et dire si on n’aime ou pas, mais les trois quarts du temps nous n’en savons rien, nous sommes totalement indifférents, nous sommes totalement incapable de dire si on n’aime ou non.
Mais bon en trois mots je dirais : neige , elle et musique.
C’est peut-être très court mais voilà pourquoi je suis là et pourquoi je m’entête à vivre pour mourir plus tard, et finir dans les entrailles de la terre.
Évidemment je pourrai me casser la tête à vous faire une liste de tout ce que j’aime mais à quoi bon ? De toute façon je ne fête plus mon anniversaire alors pourquoi devriez-vous savoir ce que j’aime si vous n’avez pas besoin de m’offrir des cadeaux ?
Et puis si vous voulez m’offrir quelque chose, il vous suffit de m’acheter un disque et voilà je serais content.
Mais vu que vous insistez je vais vous avouer quelque chose qui vous étonnera, je suis fou de dessin animé, c’est vrai au moins dans ces histoires tout fini bien, les gens sont heureux, ils rigolent de la vie comme s’ils ne connaissaient pas tous les problèmes présents du monde. Une autre révélation ?
J’aime voyage, non sa ce n’est pas une révélation. Bah alors, je passe sûrement autant de temps à lire qu’à composer, j’aime aussi énormément le cinéma mais sûrement moins que la musique et la lecture.
Niveau phobie ? Hum en trois mots : Les clowns, les poupées en porcelaine et les espaces clos.
Pourquoi ? Ah toujours le « pourquoi » et bien le pourquoi je ne le sais pas, je n’explique pas mes phobies, mais soyez quand même honnête, les clowns ne sont-ils pas zarbis avec leurs maquillages, sincèrement ils ressemblent à des psychopathes non ?
Voilà ensuite tout le reste me laisse indiffèrent, je n’importe aucune importance à mon ordinateur, à ma table ou même à ma rue et tous ces gens. Tout cela me laisse entièrement indiffèrent.
Niveau des sentiments, sa aussi il en existe des milliers, malheureusement je crois que tous les sentiments nous font rêver comme il nous font souffrir. Prenons l’amour, on en dit que du bien, tout le monde rêve de connaître l’amour, d’être amoureux. Et pourtant qui ne sait pas que l’amour fait souffrir ? Qui n’a jamais pleuré à cause de l’amour ? Vous me direz que l’amour est un cas particulier. Alors prenons l’amitié, qui pourrait vivre sans ses amis ? Qui n’a jamais souffert de perdre un ami ? L’amitié c’est comme l’amour, c’est beau mais on en souffre un jour. Parfois je me demande pourquoi on s’enquiquine avec ces sentiments qui nous font souffrir, peut-être car ils apportent plus de bien que de mal.
Un sentiment que je déteste ? La haine. Mais je pense que très peu de personne on déjà connu le sentiment de haïr quelqu’un au point de vouloir le tuer. Je déteste l’égoïsme, mais pourtant j’en suis un. J’ai beaucoup de mal à partager, je suis trop possessif.
Voilà, mais je pense que la liste ne s’arrête pas là, mais si je vous fais la liste vous allez vous endormir. Alors mieux vaut se dire que je hais comme j’aime. Et que tout est paradoxal …

Histoire : Un minimum de 10 lignes est demandé.

Will Slone et Rachel Cohen se rencontrent pendant leurs études à l’université de Harvard. Ils tombent immédiatement sous le charme l’un de l’autre. Lui étudie pour être avocat et elle dans le journalisme. Après la fin de leurs études, ils s’installent à Londres où Will rentre dans un important cabinet de la Ville alors que Rachel est embauchée à la rédaction de Vogue. Ils avaient tout pour être heureux, et pourtant le destin en décida autrement.

« C’est à cause d ‘Heaven qu’on n’a pas fêté Noël »

Mais qu’est ce que je pouvais y faire moi ? Je suis née sans rien choisir, je n’ai même pas choisi d’être de ce monde, je n’ai rien choisi et pourtant je suis là, de quel grès ? Moi si j’avais pu choisir crois moi j’aurais choisi de ne pas venir dans ce monde que je hais tant.
Moi Heaven, Abigail, Blake , je suis née par cette journée enneigée de décembre 1988, je ne peux pas vous dire si je suis content d’être né ce jour-là, car en fait je n’en sais rien. À vrai dire je m’en fiche royalement.
Je suis née dans une famille que l’on ne peut pu tellement nommé famille, j’ai une mère, un père, un frère. Mais bon maintenant on va plutôt dire que j’ai qu’un frère. Ma vie n’est pas une tragédie, ma vie n’est rien du tout, je ne vois même pas l’intérêt de la raconter. Je n’ai rien fait, je n’ai rien choisis, tout n’est que le fruit du hasard, ce si vache hasard qui joue avec le destin à la boulette ruse avec votre vie. Nous ne somme que des pions d’un vulgaire échiquier, et nous nous battons pour rien du tout. Tout ce que je peux dire c’est que je suis né pour la rencontrer, mais on m’a mis devant un roi et je me suis retrouvé hors-jeu.
Ma vie est constituée d’image plus ou moins pénible.
Mon enfance fut un peu près heureuse, je vivais dans une famille très riche et très unie, l’ambiance des repas de famille était si chaleureuse, tout était magnifique. Je me souviendrais toujours de ces journées sur la plage avec maman, mon père, Jake mon frère, ont jouaient ensemble sans même s’occuper du monde autour, ont avaient même dormis sur la plage.
Mais malheureusement on peur appuyer sur la détente qui bouleverse le destin des gens en un clin d’œil. Et voilà, il ne fallut qu’un clin d’œil, qu’un instant, et le plus dur dans cette histoire c’était que personne ne s’attendait à ça. Je devais avoir 8 ans quand mon père mourra d’un accident de voiture.
Puis après cela ma mère trouva un autre homme, celui si ne resta pas longtemps, de toute façon s’il était resté je l’aurais tué de mes propres mains. Je devais avoir dans les environs de 13 ans quand quelqu’un d’autre à appuyé sur la détente. Cela devait être dans les environs du mois de juillet que le pire arriva. J’ai étais violé par mon ex beau père. Cet évement fut un des plus terrible de mon existence, moi qui croyais que rien ne pouvait me toucher maintenant que j’avais vécu ce sentiment de perdre un proche. Mais non, il existait d’autres douleurs aussi forte que celle de perdre un parent proche. L’humanité souffre. Le monde est une vaste plaine après un carnage, jonchée d’agonisant qui râlent et qui se tordent. Les hommes, les « gens » déambulent, anonymes.
Le bonheur… L’homme n’en entrevoit que des apparences, celle qui essaie de lui donner le voisin. On envie toujours quelqu’un, on croit toujours que quelqu’un est supérieur à nous. Le bonheur n’est qu’une illusion optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l’infini. N’essayez pas de remonter à l’image d’origine, il n’y en a pas.
Ne dites pas que le bonheur est éphémère. Le bonheur n’est pas éphémère. Le sentiment ressenti est pris pour le bonheur quand on est amoureux, quand on a réussi quelque chose, c’est le sursis avant de comprendre l’erreur : l’être aimé ne ressemble à rien, ce que vous avez réussi ne rime à rien. Cela ne vous pas malheureux mais conscient. Le bonheur ne se finit pas, il se rectifie.
Nous avons inventé la lumière pour nier l’obscurité. Nous avons mis les étoiles dans le ciel, nous avons planté des réverbères tous les deux mètres. Et des lampes dans nos maisons.
Éteignez les étoiles et contemplez le ciel. Que voyez vous ? Rien. Vous êtes en face de l’infini que votre esprit limité ne peut concevoir et ne voyez plus rien. Et cela angoisse. C’est angoissant d’être en face de l’infini. Rassurez vous, vos yeux s’arrêteront toujours sur les étoiles qui obstruent leur vision et n’iront jamais plus loin. Aussi ignorez le vide qu’elles dissimulent.
Éteignez la lumière et ouvrez grands les yeux. Vous ne voyez plus rien. Que l’obscurité, que vous percevez plutôt que vous ne voyez. L’obscurité n’est pas hors de vous, l’obscurité est en vous.
Je porte la malédiction de la lucidité. Les yeux de mon esprit sont grands ouverts sur la vie et contemplent le vide.
Et pourtant luisant en moi l’étincelle moqueuse d’un espoir indéfini, qui par instants me faisait oublier le goût amer de la moelle pourrie du monde, petite étincelle ténue, seule barrière entre moi et l’autodestruction. Bien que voué aux affres du pessimisme, aux abîmes de la vérité, je vis.
Et je vis encore … Encore … Le ciel est imprégné de poussière d’étoile. Cette nuit encore, il est terriblement éblouissant. Même maintenant, encore quand je vois des choses brillent ça me penser à Aaron. C’était lui qui me stoppait du néant.

« Quelle est la chose à laquelle tu tiens le plus à présent ? Tu as tout laissé derrière toi … »

C’est vrai, j’ai tout laissé, tout. Mais avais je le choix ? Je n’ai rien choisis, j’ai suivi mon destin comme tu me l’avais appris. Tu as raison grand frère, je l’ai laissé derrière moi. Quand j’étais avec elle, je sentais qu’elle la seule chose qui m’importait, mais Maman est morte. Elle est morte la veille de Noël, à quelque jour de mon anniversaire, elle est mort si bêtement. Et moi j’ai abandonné Aaron. Oui. Pas la peine d’enfoncer le couteau dans la plaie. Elle était tout et moi, j’étais pas assez fort, je voulais en finir. Je l’ai abandonné comme ma mère m’avait abandonné, je lui fais croire que j’allais bien alors que rien n’allait.
Aaron, tes dernières paroles continuent d’errer entre espoir et désespoir.
Je t’ai dit que ce n’était qu’un aurevoir, qu’après l’enterrement j’allais revenir. Mais je t’ai menti, contre mon propre grès. Dans tout regard rempli de désespoir j’avais pu voir une lueur d’espoir. Et ton sourire qui appelait au secours. Je ne serais toujours pas te dire pourquoi je t’ai abandonnée, tu sais parfois l’amour force à faire des bétisses … Tout cela n’est que supercherie … Que supercherie.
Je suis idiot, Mais tu sais plus on se débat plus on sombre vers le fond. L’être humain est bien futile. Si je devais me réincarner je serais un poisson. Toi et moi nagerions ensemble dans notre bocal, éloigné de toutes ces supercheries.
Je me souviendrais encore de ce jour, ou je t’ai vu. Je ne peux pas expliquer, mais je suis tombé amoureux, même si je refusais de l’admettre, au fond de moi je savais, que les aventures d’un soir ce n’était plus pour moi. J’étais totalement perdu, cette connivence entre nous. Rien ni personne ne pouvait expliquer, je t’aimais, tu étais devenue la chose, l’être le plus important à mes yeux. Tu m’avais rouvert les yeux, comme on lave les mains à un enfant. Tu avais su m’accepter. Mais moi mon récipient, est trop plein et rempli de mauvaise qualité pour d’accepter à 100%.
Même si on ne m’aime en retour je veux aimer. Je veux aimer quelqu’un du fond du cœur. N’aimer que cette personne c’est ce qu’il y a de plus simple. Alors pourquoi est ce si compliqué ?
Voilà je ne voulais que t’aimer. Et je t’aimais n’en doute pas.
Jake, dis moi encore une fois. Qu’est ce qu’on fait là ? Tu sais j’oublie. Dans ce néant de désespoire je me coules tu sais.

Amour : Un minimun de 3 lignes est demandé.

Aaron. C’est ma vie. Aaron c’est mon âme. Aaron c’est mon corps. Aaron c’est mon tout. Mais bon quand la personne que vous aimez vous fait comprendre par A+B l’horreur que vous êtes, peut-être que cette personne n’est plus votre tout. Aujourd’hui, le cœur d’Heaven balance pour un beau jeune homme dont le cœur est déjà prit.Mais il ne sait même pas que je suis là. De plus qu'il a quelqu'un et de plus que je ne connais même pas. Peut-être est ce que rêve d'un idéal. Et s'il est un idéal. Et si je l'aime est ce que j'ai le droit de briser son couple juste pour ces beaux yeux foncé. Et ce que je peux juste essayer. Juste être une fois dans ses bras et sentir la chaleur de son corps c'est trop demandé ? Possible. Et bien tant pis demandons l'impossible.

Personnage chosi sur l'avatar :Miranda Kerr

Poste Vacant : ~~OUI~~ OU NON ( Barrez la mauvaise réponse )

Vous

Prénom :An*'

Âge :16 ans =)

Comment avez-vous connu le forum ? : Par obsession

Comment le trouvez-vous ? :Bien, sinon pourquoi serais-je là ?

Bienvenue tu es validée ^^

Bienvenue sur le forum .
Belle présentation .
Bon jeu !

» #. Heaven Lewis